Tome 1 : La chance ne sourit décidément pas à Miss Sarah Hamilton, fraîchement débarquée de Philadelphie. Son père lui a fait promettre sur son lit de mort de se rendre en Angleterre chez son oncle, le comte de Westbrooke, mais des marins maladroits ont fait tomber sa malle dans le port de Liverpool. Démunie et un peu perdue, Sarah se voit réserver un accueil pour le moins étrange dans l’auberge où elle compte passer la nuit. À son réveil : stupeur ! Un homme nu partage son lit ! La voici compromise, et mêlée aux dangereuses affaires de famille du très séduisant duc d’Alvord…
Tome 2 : À la mort de son frère, Charles Draysmith devient le marquis de Knightsdale et, avec ce titre, hérite de la garde de ses jeunes nièces désormais orphelines. Incapable de s’en occuper seul et soucieux de fuir les assiduités des coureuses de dot, il propose un marché fort pratique à Emma Peterson, la gouvernante des demoiselles. Pour toute réponse, cette dernière lui lance un chien en porcelaine à la tête… Le nouveau marquis devra davantage user de sentiments que de raison s’il veut convaincre la belle rebelle de l’épouser.
Tome 3 : Occupé à fuir une détestable mégère qui voudrait le forcer à l’épouser, Robert Hamilton, comte de Westbrooke, est bien content de trouver une fenêtre ouverte par laquelle se glisser. Quelle n’est pas sa surprise lorsqu’il se retrouve face à la jeune sœur d’un de ses amis, la très belle Elizabeth Runyon, nue comme un ver et légèrement pompette. Si quelqu’un venait à les surprendre, il lui faudrait demander la main de la jeune femme pour sauver son honneur. Étrangement, cette perspective ne semble soudain plus si menaçante…
Sally MacKenzie est née à Washington et vit dans le Maryland. Le Duc mis à nu a remporté le Golden Leaf Award pour un premier roman, et la série Noblesse oblige connaît depuis un immense succès outre-Atlantique.
Il y a dans ces romans de jeunes vierges de bonne famille qu’il convient de ne pas de compromettre avant le mariage (même si elles en brûlent d’envie), des nobles qui tombent amoureux au point d’avoir beaucoup de peine à se contrôler, et une galerie de personnages cocasses ou franchement antipathiques. Les intrigues, bien que relativement simplistes, sont tout de même construites pour donner envie de tourner les pages. Une saga qui détend et qui émoustille, parfaite pour un mois sexy et ensoleillé. Bonne nouvelle : d’autres tomes sont prévus…
Milady Romance, 356 pages, 375 pages, 380 pages, 7.60 € chaque