Le bal des hypocrites– Tristane Banon
«Je ne suis que Tristane, une fille qui tente de faire tenir les murs de sa maison comme elle peut, une jeune femme de trente deux ans avec ces doutes, ses petits et ses grands chagrins, ses amours ratés et ses changements de direction, sa passion pour les histoires compliquées et sa vie foutue depuis huit ans».
Dans cet ouvrage Tristane nous parle tout simplement, avec des mots qui sont les siens, de son épreuve.
Elle use de métaphores pour titiller notre imagination et garder un semblant de non-dit et de préservation d’anonymat face à toutes ces personnes médiatisées que l’on connaît : «l’homme-babouin» est au centre de son histoire depuis huit années.
Cet homme que la France aurait voulu hisser Président, se retrouve au centre d’une affaire licencieuse de l’autre côté de l’Atlantique et entraine par effet «boule de neige», notre jeune journaliste sous les feux des projecteurs.
Les médias sont décrits comme de véritables cannibales qui se mangent entre eux, c’est à celui qui choisira son camp en espérant que ce soit le bon!! Les politiques défendent, accusent!
Le peuple prend partit et par l’intermédiaire des nouvelles technologies et des réseaux sociaux fait de la vie de Tristane, un véritable calvaire.
« FACEBOOK -20 Mai –
Bonjour,
Honte sur toi!
Pourquoi ne portes-tu pas plainte? Je ne te comprends pas. Si tu dis vrai, il faut porter plainte ! Si tu ne portes pas plainte, c’est que tu mens, et si tu as fait ça pour te faire de la publicité, alors tu n’es vraiment pas une femme respectable!
Fabien»
Tout citoyen se donne le droit d’établir ce qu’il pense être juste et moral.
On se croirait revenu dans le passé, au temps de l’Inquisition, où chacun avait droit de vie et de mort sur les personnes qu’il ne comprenait pas.
On est vite pris à partit nous aussi lecteur, qu’aurions-nous fait à sa place? Dénoncé cet homme désormais dépourvu de ses attributs humains ? Ou bien serions-nous restés dans le silence? Parce que la blessure comme une croute à vif serait encore loin de l’étape de cicatrisation.
Aurions-nous choisit d’aider cette autre femme que nous ne connaissons pas au risque de protéger quelqu’un d’incorrect et de se décrédibilisé par la même occasion?
Après lecture de ce témoignage succinct mais poignant, je ne sais toujours pas et donc ne peux juger…
En librairie depuis octobre 2011.
Editions Au Diable Vauvert.
(Autobiographie-récit)
15 euros.
Soisic B.
« Cet homme que la France aurait voulu hisser Président, se retrouve au centre d’une affaire licencieuse » : dites… « licencieux »… c’est tout ce que vous avez trouvé dans votre vocabulaire pour qualifier un viol ? Je suis un garçon… donc la chance de ne jamais avoir été harcelé sexuellement… – savez-vous ce qu’est l’existence d’une jolie fille ?… regardez Miss France samedi chez l’autre pédé, avec tous ces babouins bave aux lèvres… –, ni violé, heureusement… Si ça avait été le cas, je crois que je ne le supporterais pas… (Rien que les humiliations subies dans ma vie me font cauchemarder… alors un viol !) une tentative – pour Tristoune –, c’est un moindre mal, certes : mais combien de nuits d’angoisse ? qui peuvent resurgir à tout moment… en 2006, Tristoune paraissait apaisée… ce n’est plus le cas aujourd’hui… Un viol, même consenti – si je puis dire –, car c’est ce que je pense de ce qui est arrivé à Nafissatou Diallo… une femme qui m’a l’air un peu simple, voir simplette… confrontée, elle, femme de chambre d’un hôtel luxueux aux parties réservées au personnel crasseuses – c’est pas moi qui le dis, mais la presse – à un client… forcément fortuné… d’une suite, en plus… très fortuné… accepter un viol… par instinct de conservation… les factures, la fille, l’immigration plus ou moins – plutôt moins – régulière… Il faut être des enculés comme Vance et Obus pour exonérer le ressortissant israélien de tout crime… de sa « légèreté », comme vous diriez probablement…
« Le peuple prend partit et par l’intermédiaire des nouvelles technologies et des réseaux sociaux fait de la vie de Tristane, un véritable calvaire. »… là, je ne vous suis pas… Si vous avez lu et écouté Tristoune, vous avez vu que pour elle, l’information, c’est d’abord et avant tout cette grosse merde de « Facebook », le ramassis des gros connards boutonneux, de 0 à 107 ans… où, si j’ai bien compris, n’importe quel enculé inscrit est à même d’écrire à la Tristane sans avoir besoin de connaître son adresse ; donc, son « calvaire », Tristoune l’a quand même un peu cherché. La Toile est déchaînée contre elle – c’est ce que je constate à la lecture des sites que m’indique mon « alerte Tristane Banon » par laquelle je suis arrivé icitte –, elle n’est pas obligée de la suivre ; mais se rendre accessible à tous – surtout les connards informatisés… Par définition, un connard EST informatisé !… –, nul ne l’y contraignait.
« Cet homme que la France aurait voulu hisser Président »… bravo… un remarquable exemple de perroquet qui répète consciencieusement ce que cet enculé de Khiroun et autres enculés de’Euro RSCG vous ont commandé de « penser »… Quand donc comprendrez-vous, tous, y compris la Tristoune – cf. son entretien avec Radio-Canada –, que le Strauss-Kahn et son échangiste de mouquère, ce n’est que du pipeau martelée depuis quinze, vingt… ans… qui ne repose sur rien : Anne Schwartz, sans les fiches de son mari Levaï, aurait été bien incapable d’articuler quoi que ce soille dans ses émissions, et son goret violeur, hormis un don évident pour l’arnaque et les factures antidatées, ne s’est jamais fait remarquer par quelque qualité que ce soille !…
Sans rancune… pour une fois que la Tristoune n’est pas insultée sur un blog… C’est mon vrai nom, et ma véritable adresse…