Attila Ambrus est arrêté pour plusieurs braquages de banques en Hongrie. Gentleman cambrioleur, il est devenu une célébrité nationale. Il s’évade de prison en 1999 et est alors traqué par l’inspecteur Lajos Varjù, fan de la série Colombo.
La ballade du voleur au whisky
Julian Rubinstein
Éditions 10/18
Paru le 21 janvier 2016
432 pages
8,80€
Julian Rubinstein : journaliste, spécialisé dans l’immersion en milieu hostile, dans les tribus amazoniennes ou bien le gang des Hell’s Angels canadiens, il a travaillé notamment pour le New Yorker, le New York Times Magazine, Rolling Stone, The Washington Post. Il a été récompensé plusieurs fois pour son travail. Il vit à New York.
Sa page Twitter officielle : @julian_rubinste.
On a hâte de découvrir l’histoire vraie de ce personnage hors du commun, Attila Ambrus, un cambrioleur gentleman dans les années 80 et 90 en Hongrie.
On aime le style, l’humour, on aime plonger dans le contexte politique difficile de la Hongrie et de la Roumanie des années Ceausescu.
On s’attache rapidement à notre héros.
Mais le rythme est lent. Avec la vie trépidante de Attila Ambrus et la traque que mène l’inspecteur Lajos Varjù qui le poursuit, on s’attend à un roman à 200 à l’heure. Dans les 70 1ères pages, par exemple, Attila Ambrus s’évade de prison, quitte la Roumanie pour Budapest, en Hongrie, et intègre l’équipe nationale de Hokey sur glace en tant que conducteur de la machine à surfacer la glace. Le rythme est lent…
Une jolie histoire tout de même.
