
Charlotte est devenue chroniqueuse culinaire à la télévision et découvre les dessous de ce milieu fait de mesquineries et autres jalousies, en plus des avances sans complexe de la présentatrice de l’émission et des menaces d’un maître chanteur, de ses nouvelles expérimentations sexuelles et des aventures de ses 2 meilleures amies, Morgan, la délurée, et Déborah, la dominatrice.
Sex and the TV est la suite de Sex in the Kitchen.
Sex and the TV
Octavie Delvaux
Éditions La Musardine
Parution : 15 janvier 2014
336 pages
15€
Octavie Delvaux est née à la fin des années 1970. Enfant elle a vécu dans de nombreux pays, Afrique du Sud, Japon, États-Unis, Antilles… Elle a suivi des études littéraires à La Sorbonne. Elle s’est d’abord spécialisée dans la recherche de manuscrits médiévaux avant de devenir auteure de littérature érotique. Son 1er roman Sex in the Kitchen s’est vendu à plus de 15 000 exemplaires. Sex and the TV est son 2ème roman et en est la suite.
Vous aimerez si :
- vous aimez les trucs de filles
- la ckick-litt
- et surtout les trucs de filles
- vous voulez un roman de soft porn
- vous avez aimé Sex in the Kitchen (c’est la suite des aventures des 3 amies), 50 Shades of Grey…
Vous aimerez moins si:
- les trucs de filles vous hérissent le poil (même celui qui est épilé du jour)
- vous voulez de la littérature érotique hard
- vous en avez assez qu’on essaie de vous faire croire dans la littérature, à la télé, au cinéma que toutes les femmes portent des chaussures de créateurs… (à 800€ la paire)
Mon avis :
Un style facile à lire, mais les vêtements et autres trucs de filles ne sont pas ma tasse de thé, et il y en a beaucoup, je n’ai donc pas accroché.
Le langage de tous les dialogues ou presque vulgaire m’a dérangée – surtout dans un roman – et rend le récit moins crédible, même entre amies, on ne parle pas aussi mal (mon mec, nana, fringues, merde, putain, soutifs, kiffe, not fuckable, trop fuckable de la mort…).
L’ambiance d’une scène torride cassée par une allusion à souvenir larmoyant d’un ex, et bien, ça casse l’ambiance quoi.
La comparaison des Nymphéas de Monet et d’un piercing sur les grandes lèvres (de la vulve donc) m’a échappée…